[Assemblée nationale.] ARCHIVES PARLEMENTAIRES. [29 janvier 1790.] 385 RAPPORT DU COMITÉ DES FINANCES. ARRIÉRÉ DE L’ÉCOLE VÉTÉRINAIRE. Par M. Lebrun. Ces dépenses appartiennent à l’administration de 1782 au 5 juin 1787. Etat de ce qui reste à payer aux créanciers de l'école vétérinaire d’Alfort. lre Série. T. XI. 25 386 �Assemblée nationale.] ARCHIVES PARLEMENTAIRES. [29 janvier 1790.] [Assemblée nationale.] ARCHIVES PARLEMENTAIRES. [39 janvier 1790.] 387 NUMEROS des PIÈCES. 39 40 41 42 43 44 43 46 NOMS DES CREANCIERS et LEUR PROFESSION. Ci-contre .................... 319,277 liv. 18 s. 10 d. Millon, cloutier. Villemorin grainier. Jacquot, coutelier Bertin, coutelier. . . Coutous, marchand de bois. Mayer, tapissier. Charre, tapissier .............. La Cour, marchand de couleurs. Senaud, taillandier ............. Masson, boucher ............... Schusselaire, chaudronnier ...... Boulogne, voiturier ............ François, marchand d’arbres. .. . Compiègne, potier d’étain ....... SOMMES qui LEUR SONT DUES. Boissette, marchand de charbon...... Chapelet, peintre ................. : . Bai choux, marchand d’arbres ......... 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 Rimbauit, marchand de papier. M. Blondel, intendant des finances, a fait passer cet état au bureau des fonds le 27 mars 1789; mais depuis l’envoi qui en a été fait, M. l’intendant de Paris a encore adressé à M. Blondel les objets suivants. Savoir : Un mémoire par lequel le sieur Cosaque, menuisier, demande le payement d’une somme de ............... Un autre des sieurs Migault et Fournier, peintres... Et un autre du sieur Des Rosiers ................. Total 1,239 467 5 323 1 1,018 9 1 ,064 13 350 » 313 10 4,906 » 4,336 791 103 51 127 29 90 600 88 642 10 y> 13 » 119 5 352 3 600 » OBSERVATIONS. Le mémoire arrêté monte à ................ 1,810 liv. » Sur quoi il a été payé à compte ............... 571 » Reste dû .......... 1,239 liv. » l Justifié par des mémoires visés par le l dir< directeur. ( Le i: ? rier, a Le mémoire est arrêté par le sieur Célé-architecte. Les mémoires sont arrêtés par le directeur. Les mémoires montent à ...................... 1,278 liv. 15 s. Sur quoi déduire pour pension d’un cheval qu’il avait placé à l’Ecole. .. . 214 » Reste dû .......... 1,064 liv. 15 s. Justifié par des quittances du directeur. ustifiés Chabert. I Justifiés par des mémoires arrêtés par | M. ..... Justifié par mémoire arrêté par M. Chabert ................... 1,094 liv. » Idem, par trois ordonnances, ensemble ..... .. 3,812 » Total .......... 4,906 liv. » ' Justifié par un état arrêté par M. Cha-i bert. Idem. Les mémoires sont arrêtés par idem. Idem. Justifié par un mémoire arrêté par idem. Idem. Le mémoire est arrêté par M. Flandrin. Idem, parM. Chabert. Idem. Le mémoire est arrêté par ■ M. Célérier» architecte 337,288 liv. 18 s. 14 d. La totalité des dettes anciennes de l’école vétérinaire d’Alfort, contractées sous l’administration de M. Berthier, monte à .............. 337,288 liv. 18 s. 4 d. Sur laquelle il paraît que le Trésor royal a payé au sieur Berthaud, maître maçon ....................... Partant il reste à payer quatre-vingt-dix-sept mille sept cent quatre-vingt-trois livres douze sols sept deniers, ci ..................... . ...................... 239,505 97,783 liv. 12 s. 7 d.