SÉANCE DU 5 THERMIDOR AN II (23 JUILLET 1794) - N" 11 433 la république; vous avés acquis un nouveau droit à leur reconnaissance. Représentans, la société populaire régénérée de Châtellerault en admirant l’immensité de vos travaux vous rend mille actions de grâces de ceux qui sont achevés; elle vous invite de vous occuper encore du bonheur de toute la nation qui vous contemple, et de rester à votre poste jusqu’après l’annéantisse-ment du dernier des tyrans, la destruction de tous les traîtres et la consolidation du gouvernement républicains dont vous êtes créateurs, elle jure, cette société, qui fera partir dans le plus bref délay son cavalier jacobin animé du désir de vaincre, de préférer la mort au rétablissement de la Royauté ! Les citoyens de cette commune ont célébré dé-cady dernier la fête consacrée à l’Etre supprême avec la dignité qui devait la caractériser, tous avaient travaillé sans distinction d’âge ni de sexe à l’élévation d’un monument qui rappellera à la postérité, que si les décrets célestes furent autrefois dictés du haut d’une montagne, les lois bien-faisan-tes de la république en sont également émanées. Vive la convention ! Vive à jamais la montagne. salut et respect. Turquant Le J[eun]e (vice-présid.), PLUVINAND (secrét.). 11 Les canonniers du second régiment d’artillerie en batterie aux lignes de l’armée du Rhin, applaudissent au décret du 18 floréal; il y joignent des couplets dédiés à la nature, la raison, la philosophie, l’intelligence, la vertu et la liberté, et invitent la Convention à rester à son poste, tandis qu’ils vont foudroyer les restes épars des esclaves des brigands couronnés. [Applaudissements] Mention honorable de ces deux adresses, insertion au bulletin, et renvoi de la dernière au comité d’instruction publique (l). [Bellheim, 22 prair. II] (2). « Citoyens Réprésentans Votre Sagesse a porté le coup mortel au Dieu des prêtres et pour couronner votre ouvrage vous avez rendu à l’être Suprême ce que des hommes imposteurs lui-avaient ravis. Vous lui avés dressés des autels sur les lambeaux d’un fantôme déifié qui a fui à l’aspec[t] de la Raison comme la bande populi-cide fuit à l’aspec[t] de nos libres étendart. Vous avés décrété que le 20 Prairial serait consacré à l’innoguration d’une fête solemnelle dédiée à l’auteur de la Nature, et ce jour là nous lui avons élevé un autel Républicain au milieu d’un près émaillés de fleurs devant lequel nous avons invoqué son secour[s] pour notre chère patrie et pour tous les habitans de l’Univerts] qui, comme nous, se déclareront ennemis des monstres sacerdotaux, royaux et féodaux, devant lequel nous avons (1) P.V., XLII, 124. -J. Fr., n° 667. (2) F1C III H1. Rhin, II, 45-47. renouvellés le serment de ne cesser de lancer le fer destructeur sur les esclaves des Rois qu’après les avoir exterminé ou reçu la mort, enfin devant lequel nous avons rendu hommage à la Vertu de ceux qui habitent le sommet de la montagne et chantés la Victoire de ceux qui bravent le canon des despotes. Continués donc, Généreux Représentans, de rester à votre poste, et les Canonniers du 2e Régiment d’Art[ille]rie continueront de foudroyer les esclaves qui foulent les plages que le Rhin baigne de ses eaux. » Lafeuille, Chapuis, Coupion, Régis, Migeon, C. Eoudet, Thiebau, Meuneiz, Isabey, Pirolley, joseph Phyolard, joseph QuiCLEZ, MOURE, CHO-PARD, FONTON (chef de bon au 5e Reg1 d’art ), Duvernoy (sergent-maj.), J. CAUROCH (sergent), Laurant Parquey (1er canonnier), Darsonville (sergent), MlLLON, MATHIS (lieut‘)j DENHAUCH, TlS-sot, Grandes, C. Garpilles, Jean Dumilly, J. Moine, Borichon, Galois, Dard, Bourlot, Salins, Melier, Dornier. [Couplets dédiés aux divinités des Français, chantés par le c" Michel, canonnier au 2e Reg ' d’Artille-rie]. à La Nature. (air : Aussitôt que la Lumière) 1er O Prétieuse Nature, Tendre mere des mortels La fourberie, l’imposture, tavaient ravis nos autels Mais un Rayon de Lumière Vient de desiller nos yeux : Nous t’offrons d’un Cœur sincere Nos purs hommages et nos Vœux. à la Raison (air : Comment garder quelque repos) 2e O raison, descends parmi nous, Viens considérer ton Empire Et tu le verras s’aggrandire Malgré tous les tirans jaloux : Déjà nous terigeons des temples Sur les débris du préjugé bientôt l’univers outragé T’adorera à notre exemple à la Philosophie (air de la Romance de Mississé) 3H Grâce Immortelle te soit rendue Sage Philosophie, C’est ton éloquence ingénue Qui sauva ma Patrie, c’est par toi que Rousseau franklin Vasingthon et Voltaire, Ces incorruptibles humains Ont délivré la terre 28 SÉANCE DU 5 THERMIDOR AN II (23 JUILLET 1794) - N" 11 433 la république; vous avés acquis un nouveau droit à leur reconnaissance. Représentans, la société populaire régénérée de Châtellerault en admirant l’immensité de vos travaux vous rend mille actions de grâces de ceux qui sont achevés; elle vous invite de vous occuper encore du bonheur de toute la nation qui vous contemple, et de rester à votre poste jusqu’après l’annéantisse-ment du dernier des tyrans, la destruction de tous les traîtres et la consolidation du gouvernement républicains dont vous êtes créateurs, elle jure, cette société, qui fera partir dans le plus bref délay son cavalier jacobin animé du désir de vaincre, de préférer la mort au rétablissement de la Royauté ! Les citoyens de cette commune ont célébré dé-cady dernier la fête consacrée à l’Etre supprême avec la dignité qui devait la caractériser, tous avaient travaillé sans distinction d’âge ni de sexe à l’élévation d’un monument qui rappellera à la postérité, que si les décrets célestes furent autrefois dictés du haut d’une montagne, les lois bien-faisan-tes de la république en sont également émanées. Vive la convention ! Vive à jamais la montagne. salut et respect. Turquant Le J[eun]e (vice-présid.), PLUVINAND (secrét.). 11 Les canonniers du second régiment d’artillerie en batterie aux lignes de l’armée du Rhin, applaudissent au décret du 18 floréal; il y joignent des couplets dédiés à la nature, la raison, la philosophie, l’intelligence, la vertu et la liberté, et invitent la Convention à rester à son poste, tandis qu’ils vont foudroyer les restes épars des esclaves des brigands couronnés. [Applaudissements] Mention honorable de ces deux adresses, insertion au bulletin, et renvoi de la dernière au comité d’instruction publique (l). [Bellheim, 22 prair. II] (2). « Citoyens Réprésentans Votre Sagesse a porté le coup mortel au Dieu des prêtres et pour couronner votre ouvrage vous avez rendu à l’être Suprême ce que des hommes imposteurs lui-avaient ravis. Vous lui avés dressés des autels sur les lambeaux d’un fantôme déifié qui a fui à l’aspec[t] de la Raison comme la bande populi-cide fuit à l’aspec[t] de nos libres étendart. Vous avés décrété que le 20 Prairial serait consacré à l’innoguration d’une fête solemnelle dédiée à l’auteur de la Nature, et ce jour là nous lui avons élevé un autel Républicain au milieu d’un près émaillés de fleurs devant lequel nous avons invoqué son secour[s] pour notre chère patrie et pour tous les habitans de l’Univerts] qui, comme nous, se déclareront ennemis des monstres sacerdotaux, royaux et féodaux, devant lequel nous avons (1) P.V., XLII, 124. -J. Fr., n° 667. (2) F1C III H1. Rhin, II, 45-47. renouvellés le serment de ne cesser de lancer le fer destructeur sur les esclaves des Rois qu’après les avoir exterminé ou reçu la mort, enfin devant lequel nous avons rendu hommage à la Vertu de ceux qui habitent le sommet de la montagne et chantés la Victoire de ceux qui bravent le canon des despotes. Continués donc, Généreux Représentans, de rester à votre poste, et les Canonniers du 2e Régiment d’Art[ille]rie continueront de foudroyer les esclaves qui foulent les plages que le Rhin baigne de ses eaux. » Lafeuille, Chapuis, Coupion, Régis, Migeon, C. Eoudet, Thiebau, Meuneiz, Isabey, Pirolley, joseph Phyolard, joseph QuiCLEZ, MOURE, CHO-PARD, FONTON (chef de bon au 5e Reg1 d’art ), Duvernoy (sergent-maj.), J. CAUROCH (sergent), Laurant Parquey (1er canonnier), Darsonville (sergent), MlLLON, MATHIS (lieut‘)j DENHAUCH, TlS-sot, Grandes, C. Garpilles, Jean Dumilly, J. Moine, Borichon, Galois, Dard, Bourlot, Salins, Melier, Dornier. [Couplets dédiés aux divinités des Français, chantés par le c" Michel, canonnier au 2e Reg ' d’Artille-rie]. à La Nature. (air : Aussitôt que la Lumière) 1er O Prétieuse Nature, Tendre mere des mortels La fourberie, l’imposture, tavaient ravis nos autels Mais un Rayon de Lumière Vient de desiller nos yeux : Nous t’offrons d’un Cœur sincere Nos purs hommages et nos Vœux. à la Raison (air : Comment garder quelque repos) 2e O raison, descends parmi nous, Viens considérer ton Empire Et tu le verras s’aggrandire Malgré tous les tirans jaloux : Déjà nous terigeons des temples Sur les débris du préjugé bientôt l’univers outragé T’adorera à notre exemple à la Philosophie (air de la Romance de Mississé) 3H Grâce Immortelle te soit rendue Sage Philosophie, C’est ton éloquence ingénue Qui sauva ma Patrie, c’est par toi que Rousseau franklin Vasingthon et Voltaire, Ces incorruptibles humains Ont délivré la terre 28 434 ARCHIVES PARLEMENTAIRES CONVENTION NATIONALE à l'Intelligence (air : Un Ingrat t’abandonne) 4" Tu as détruit l’erreur C’est par toi que la france Est libre du malheur. C’est par toi qu’on voit naitre Le germe des Vertus Et tu fais disparaître Le régné des Abus. à la Vertu (air : Un Ingrat t’abandonne) 5" Vertu Chérie de tous les peuples Libres Viens partager nos palmes et nos l'auriers Puisque tu fus bannie des bords du tibre Sur ceux du Rhin enflamme nos Guerriers à la Liberté (air : Pourquoi d’avid prit-il une Pucelle) 6" o liberté ne sois donc plus Volage Reste à Jamais lidole des françois Vois les braver la tempête et L’orage Quand il s’agit de combatre les Rois 12 La société populaire de Faverney, et les autorités constituées de cette commune, département de la Haute-Saône, félicitent la Convention de ses travaux, de son décret du 18 floréal, l’invitent à rester à son poste, et annoncent qu’ils lui envoient 66 marcs 6 onces d’argenterie, provenant de leurs ci-devant églises, et qu’ils envoient au chef-lieu de leur district 50 quintaux de fer; que la somme de 305 liv. en numéraire a été échangée en assignats par le receveur du district de Vesoul, et qu’ils ont employé cette somme en soulie'rs, qui ont été envoyés aux défenseurs de la patrie avec 52 pintes d’eau-de-vie, et 40 chemises. Ils terminent par annoncer que la société fait une nouvelle collecte qui a la même destination. Mention honorable, insertion au bulletin, renvoi à la commission des revenus nationaux (l). 13 Le conseil général, le comité de surveillance, la justice de paix et la société populaire de Collobrières, département du Var, félicitent la Convention de ses travaux, de son décret du 18 floréal, et annoncent qu’ils ont fait tout ce (l) P.V., XLII, 124. qu’ils ont pu en faveur des défenseurs de la patrie, et qu’ils travaillent assidûment à l’extraction du salpêtre. Mention honorable, insertion au bulletin (l). [Collobrières, 10 prair. 7/7(2). « Vengeurs de l’humanité, détestant les traitres, les tirans, les despotes, marchant d’un pas ferme dans la carrière de la Révolution, toujours à la hauteur des circonstances, les sans-culottes de collobrières acceptèrent l’acte constitutionnel dès que l’infame section fut rentrée dans le néant d’où elle n’auroit jamais dû sortir. Des félicitations dictées par la reconnoissance ont été adressées au président de la Convention le 11 floréal. Par quelle fatalité avons nous été oubliés dans le Bulletin de correspondance ? Jusqu’ici nous avons fait pour la patrie tout ce qui étoit en notre pouvoir; des souliers et des capotes pour nos braves deffenseurs envoyés à nos frères du ci-devant Toulon, il y a 15 mois; des chemises et quantité d’autres linges envoyés aux hôpitaux pendant le siège de la ville infâme; nos cloches, notre argenterie pour la monoye; 217 liv. pour nos héros, le fanatisme combattu par celui-là même qui paroissoit intéressé à l’entretenir; des persécutions inouies, un patriotisme à toute épreuve, un travail assidu pour l’extraction du salpêtre; des hymnes patriotiques, des fêtes, des réjouissances à l’occasion de nos victoires, voila en abrégé ce que nous avons fait pour la Révolution. Nous n’ambitionnons pas des éloges. Les tirans seuls en sont avides. Contens de nous être acquittés de nos devoirs, notre ambition se borne à vous en donner connoissance ; qu’il seroit consolant pour nous d’être assurés que nos lettres vous sont parvenues et que tous les sans culottes de la République connessent par la voye du Bulletin quels sont les sentimens qui nous animent toujours, quelle est la conduite que nous avons tenue. S. et F. Vive la République, vive la Convention nationale, vive la Montagne. » Simono (off. mun.), Bernard, GERMAIN (off. mun.), BERRES, Caro (off. mun.), BRIEMOND (off. mun.), P. Aurieran (agent nat.), Aumeran (présid. du comité), Bernard, Condroyer, Laugier, Aillet, Fournier, Baude (juge de paix), Aumeran, Champ, Ravel (secrét.), Bernard (secrét), autre Bernard, Monier, Fournier, Aumeran, Bernard, Coulomb, Aillet, Infernet, Cabasson [et 4 signatures illisibles] Tous les autres clubistes, au nombre de plus de 150, ne sachant point signer ont applaudi a cette adresse, et nous ont invités d’y mettre qu’ils y adhéraient et qu’ils voudraient la présenter eux mêmes. Infernet (secrét.) [Collobrières, 11 flor. II. Au présid. de la Conv.J. « Immortels législateurs, Séquestrés pour ainsi dire du reste de la République, environnés de bois et de montagne, échappés (1) P.V., XLII, 125. (2) C 311, pl. 1232, p. 27 et 28. 434 ARCHIVES PARLEMENTAIRES CONVENTION NATIONALE à l'Intelligence (air : Un Ingrat t’abandonne) 4" Tu as détruit l’erreur C’est par toi que la france Est libre du malheur. C’est par toi qu’on voit naitre Le germe des Vertus Et tu fais disparaître Le régné des Abus. à la Vertu (air : Un Ingrat t’abandonne) 5" Vertu Chérie de tous les peuples Libres Viens partager nos palmes et nos l'auriers Puisque tu fus bannie des bords du tibre Sur ceux du Rhin enflamme nos Guerriers à la Liberté (air : Pourquoi d’avid prit-il une Pucelle) 6" o liberté ne sois donc plus Volage Reste à Jamais lidole des françois Vois les braver la tempête et L’orage Quand il s’agit de combatre les Rois 12 La société populaire de Faverney, et les autorités constituées de cette commune, département de la Haute-Saône, félicitent la Convention de ses travaux, de son décret du 18 floréal, l’invitent à rester à son poste, et annoncent qu’ils lui envoient 66 marcs 6 onces d’argenterie, provenant de leurs ci-devant églises, et qu’ils envoient au chef-lieu de leur district 50 quintaux de fer; que la somme de 305 liv. en numéraire a été échangée en assignats par le receveur du district de Vesoul, et qu’ils ont employé cette somme en soulie'rs, qui ont été envoyés aux défenseurs de la patrie avec 52 pintes d’eau-de-vie, et 40 chemises. Ils terminent par annoncer que la société fait une nouvelle collecte qui a la même destination. Mention honorable, insertion au bulletin, renvoi à la commission des revenus nationaux (l). 13 Le conseil général, le comité de surveillance, la justice de paix et la société populaire de Collobrières, département du Var, félicitent la Convention de ses travaux, de son décret du 18 floréal, et annoncent qu’ils ont fait tout ce (l) P.V., XLII, 124. qu’ils ont pu en faveur des défenseurs de la patrie, et qu’ils travaillent assidûment à l’extraction du salpêtre. Mention honorable, insertion au bulletin (l). [Collobrières, 10 prair. 7/7(2). « Vengeurs de l’humanité, détestant les traitres, les tirans, les despotes, marchant d’un pas ferme dans la carrière de la Révolution, toujours à la hauteur des circonstances, les sans-culottes de collobrières acceptèrent l’acte constitutionnel dès que l’infame section fut rentrée dans le néant d’où elle n’auroit jamais dû sortir. Des félicitations dictées par la reconnoissance ont été adressées au président de la Convention le 11 floréal. Par quelle fatalité avons nous été oubliés dans le Bulletin de correspondance ? Jusqu’ici nous avons fait pour la patrie tout ce qui étoit en notre pouvoir; des souliers et des capotes pour nos braves deffenseurs envoyés à nos frères du ci-devant Toulon, il y a 15 mois; des chemises et quantité d’autres linges envoyés aux hôpitaux pendant le siège de la ville infâme; nos cloches, notre argenterie pour la monoye; 217 liv. pour nos héros, le fanatisme combattu par celui-là même qui paroissoit intéressé à l’entretenir; des persécutions inouies, un patriotisme à toute épreuve, un travail assidu pour l’extraction du salpêtre; des hymnes patriotiques, des fêtes, des réjouissances à l’occasion de nos victoires, voila en abrégé ce que nous avons fait pour la Révolution. Nous n’ambitionnons pas des éloges. Les tirans seuls en sont avides. Contens de nous être acquittés de nos devoirs, notre ambition se borne à vous en donner connoissance ; qu’il seroit consolant pour nous d’être assurés que nos lettres vous sont parvenues et que tous les sans culottes de la République connessent par la voye du Bulletin quels sont les sentimens qui nous animent toujours, quelle est la conduite que nous avons tenue. S. et F. Vive la République, vive la Convention nationale, vive la Montagne. » Simono (off. mun.), Bernard, GERMAIN (off. mun.), BERRES, Caro (off. mun.), BRIEMOND (off. mun.), P. Aurieran (agent nat.), Aumeran (présid. du comité), Bernard, Condroyer, Laugier, Aillet, Fournier, Baude (juge de paix), Aumeran, Champ, Ravel (secrét.), Bernard (secrét), autre Bernard, Monier, Fournier, Aumeran, Bernard, Coulomb, Aillet, Infernet, Cabasson [et 4 signatures illisibles] Tous les autres clubistes, au nombre de plus de 150, ne sachant point signer ont applaudi a cette adresse, et nous ont invités d’y mettre qu’ils y adhéraient et qu’ils voudraient la présenter eux mêmes. Infernet (secrét.) [Collobrières, 11 flor. II. Au présid. de la Conv.J. « Immortels législateurs, Séquestrés pour ainsi dire du reste de la République, environnés de bois et de montagne, échappés (1) P.V., XLII, 125. (2) C 311, pl. 1232, p. 27 et 28.