[Assemblée nationale.] ARCHIVES PARLEMENTAIRES. [6 septembre 1791.] 247 y aura 6 courriers de départ et 6 d’arrivée par semaine. « De Toulouse à Bayonne, par Àuch, il y aura 2 courriers de départ et 2 d’arrivée par semaine. « De Bordeaux à Bayonne, par Castels, il y aura 3 courriers de départ et 3 d’arrivée par semaine. « De Toulouse à Bordeaux, par Montauban, il y aura 3 courriers de départ et 3 d’arrivée par semaine. « De Moulins à Mende, par Clermont-Ferrand, il y aura 3 courriers de départ et 3 d’arrivée par semaine. « De Moulins à Limoges, par Montluçon, il y aura 2 courriers de départ et 2 d’arrivée par semaine. « De Tours à Nantes, par Angers, il y aura 3 courriers de départ et 3 d’arrivée par semaine. « De Nantes à Brest, par Vannes, il y aura 3 courriers de départ et 3 d’arrivée par semaine. « De Rouen au Havre, par Yvetot, il y aura chaque jour 1 courrier de départ et 1 d’arrivée par semaine. « De Rouen à Dieppe, par Tostes, il y aura chaque jour 1 courrier de départ et 1 d’arrivée par semaine. Art. 3. « Les maîtres de postes aux chevaux seront chargés de la conduite des malles sur toutes les roules ci-dessus désignées, et ne pourront s’en dispenser qu’en remettant leurs brevets, et en faisant le service 6 mois après la date de leur démission. 11 leur sera payé 3 chevaux par malle pour le service de celles qui seront établies sur les routes de Paris à Strasbourg, à Huningue, à Besançon, à Lyon, à Toulouse, à Bordeaux et à Brest, et 2 pour le service des autres routes. Art. 4. « Il sera payé à chaque maître de poste chargé du service, à la fin de chaque trimestre, la somme de 25 sous par cheval par poste, y compris les guides, qui seront à leur charge, à raison de 10 sous par poste. « Les postillons, conducteurs des malles, ne pourront exiger des courriers aucune rétribution. Art. 5. « Les maîtres de poste ne pourront, en aucun cas, exiger le payement d’un plus grand nombre de chevaux que celui fixé sur chaque route pour le service ordinaire des malles.