SÉANCE DU 5 FLORÉAL AN II (24 AVRIL 1794) - PIÈCES ANNEXES 283 cm [La Sté popul. de Nogent, à la Conv.; 14 germ . II] (1). « Législateurs, Nous avons frémi lorsque nous avons appris que des scélérats avaient conçu le projet infâme d’ébranler la République jusque dans ses fondements. Notre indignation a été à son comble lorsque nous avons sçu la trame perfide des conspirateurs. Mais la découverte en est due à votre sagacité. Agréez notre félicitation sur la punition de ces modernes Catilinas; veillez sans cesse sur le salut public; que la justice à laquelle vous avez donné des armes, poursuive sans relâche tous ces contre-révolutionnaires qui font mille efforts pour mettre en vigueur le monstre hideux du fanatisme dont vous avez heureusement abattu la tête; ne quittez pas le vaisseau de l’Etat qui ne peut arriver au port que sous votre conduite, et la patrie est sauvée. L’œil de notre surveillance est toujours ouvert sur la conduite des traîtres, des perfides et des malveillants. Notre Société est peu nombreuse mais elle n’en est pas moins énergique. Liberté, égalité est notre devise. La vertu, notre apanage, et la Raison notre divinité. S. et F. » Girard, Babelon, Malaingre. CIV [Le c. de correspondance de Nice, au présid. de la Conv.; 14 germ. Il] (2). « Citoyen président, La Société populaire nous a chargés de te transmettre l’adresse qu’elle a délibéré unanimement pour la Convention dans sa séance du 12 de ce mois. Nous la joignons ici, et nous te prions au nom de la Société de vouloir bien en faire faire la lecture. Que nos fonctions nous paraissent belles dans ce moment, nous adressons au président de la représentation nationale de la nation les expressions de joie et de félicitations d’une portion du peuple français nouvellement sauvé par vous des malheurs horribles qui le menaçaient. » Henry Seguin, Leroux, Thomas Moriceau, Bt6 Marc. [Nice, 13 germ. IL] «Vertueux Montagnards, Les tyrans ligués contre la liberté et leurs féroces satellites aussi insensés qu’eux forment (1) C 303, pl. 1102, p. 9. Départ, de la Hte-Marne. (2) C 303, pl. 1102, p. 10, 11. en vain mille complots pour renverser la République. Le génie puissant des Français plus fort que tous ces pygmées déjoue sans cesse leurs trames odieuses et dissipe d’un souffle leurs projets éphémères. Telle est l’influence de la liberté qu’elle rend le peuple, qui l’adore et la veut conserver, semblable au roc contre lequel viennent se briser les vagues de l’océan en courroux. Vous venez, braves Montagnards, de donner une preuve de cette grande vérité en livrant au tribunal sévère et inexorable de la justice nationale ces monstres audacieux qui sous le masque du patriotisme le plus ardent avaient conçu le projet infernal d’assassiner le peuple par le peuple et d’anéantir la Convention à qui la France devra son salut, et l’univers sa liberté. Continuez vos travaux, courageux Montagnards, que l’épuration des mœurs soit au nombre de vos plus grandes, de vos plus importantes occupations; en réformant les mœurs vous ferez le bonheur du genre humain et affermirez à jamais la République. Extirpez sans cesse ces rejetons impurs qui voudraient souiller de leur souffle infect l’air de la liberté. Poursuivez sans relâche jusque dans leurs sombres repaires ces êtres assez absurdes pour se flatter de ramener la tyrannie et toutes ses horreurs au milieu de 25 millions d’hommes qui ont tous juré de périr plutôt, en combattant pour la liberté, que de devenir les victimes du retour de l’esclavage. La patrie, Représentans, vous prépare des couronnes civiques, continuez à bien mériter d’elle et ne quittez le gouvernail du vaisseau de l’Etat oue lorsque vous l’aurez conduit au port, aux acclamations de joie et de reconnaissance de tous les peuples libres qui béniront vos travaux immortels. » Gastaud (présid.), Henry Seguin (secret.), Bt0 Marc (secrét.), Bte Guide (secrét.) cv [La Sté popul. d’Oissel, à la Conv.; s.d.] (1). « Représentants d’un peuple libre et qui veut l’être à jamais, que de grâces nous avons à vous rendre, vous venez de sauver encore une fois la République que des monstres couverts du manteau du patriotisme et de la popularité voulaient précipiter dans l’abîme. Avec quel effroi nous avons appris les détails de cet infernal complot, avec quelle joie nous avons reçu la nouvelle du châtiment éclatant des conjurés; saisis d’une sainte horreur pour les tyrans et les traîtres, nous avons tous renouvelé le serment de les poursuivre et de les démasquer, et de les livrer aux ministres de la loi. Loin de nous l’idée de vous proposer de mettre la mort à l’ordre du jour, nous avons partagé l’horreur que vous a inspirée cette proposition sanguinaire digne d’une horde de monstres, mais que la punition des traîtres et des factieux (1) C 303, pl. 1102, p. 12. SÉANCE DU 5 FLORÉAL AN II (24 AVRIL 1794) - PIÈCES ANNEXES 283 cm [La Sté popul. de Nogent, à la Conv.; 14 germ . II] (1). « Législateurs, Nous avons frémi lorsque nous avons appris que des scélérats avaient conçu le projet infâme d’ébranler la République jusque dans ses fondements. Notre indignation a été à son comble lorsque nous avons sçu la trame perfide des conspirateurs. Mais la découverte en est due à votre sagacité. Agréez notre félicitation sur la punition de ces modernes Catilinas; veillez sans cesse sur le salut public; que la justice à laquelle vous avez donné des armes, poursuive sans relâche tous ces contre-révolutionnaires qui font mille efforts pour mettre en vigueur le monstre hideux du fanatisme dont vous avez heureusement abattu la tête; ne quittez pas le vaisseau de l’Etat qui ne peut arriver au port que sous votre conduite, et la patrie est sauvée. L’œil de notre surveillance est toujours ouvert sur la conduite des traîtres, des perfides et des malveillants. Notre Société est peu nombreuse mais elle n’en est pas moins énergique. Liberté, égalité est notre devise. La vertu, notre apanage, et la Raison notre divinité. S. et F. » Girard, Babelon, Malaingre. CIV [Le c. de correspondance de Nice, au présid. de la Conv.; 14 germ. Il] (2). « Citoyen président, La Société populaire nous a chargés de te transmettre l’adresse qu’elle a délibéré unanimement pour la Convention dans sa séance du 12 de ce mois. Nous la joignons ici, et nous te prions au nom de la Société de vouloir bien en faire faire la lecture. Que nos fonctions nous paraissent belles dans ce moment, nous adressons au président de la représentation nationale de la nation les expressions de joie et de félicitations d’une portion du peuple français nouvellement sauvé par vous des malheurs horribles qui le menaçaient. » Henry Seguin, Leroux, Thomas Moriceau, Bt6 Marc. [Nice, 13 germ. IL] «Vertueux Montagnards, Les tyrans ligués contre la liberté et leurs féroces satellites aussi insensés qu’eux forment (1) C 303, pl. 1102, p. 9. Départ, de la Hte-Marne. (2) C 303, pl. 1102, p. 10, 11. en vain mille complots pour renverser la République. Le génie puissant des Français plus fort que tous ces pygmées déjoue sans cesse leurs trames odieuses et dissipe d’un souffle leurs projets éphémères. Telle est l’influence de la liberté qu’elle rend le peuple, qui l’adore et la veut conserver, semblable au roc contre lequel viennent se briser les vagues de l’océan en courroux. Vous venez, braves Montagnards, de donner une preuve de cette grande vérité en livrant au tribunal sévère et inexorable de la justice nationale ces monstres audacieux qui sous le masque du patriotisme le plus ardent avaient conçu le projet infernal d’assassiner le peuple par le peuple et d’anéantir la Convention à qui la France devra son salut, et l’univers sa liberté. Continuez vos travaux, courageux Montagnards, que l’épuration des mœurs soit au nombre de vos plus grandes, de vos plus importantes occupations; en réformant les mœurs vous ferez le bonheur du genre humain et affermirez à jamais la République. Extirpez sans cesse ces rejetons impurs qui voudraient souiller de leur souffle infect l’air de la liberté. Poursuivez sans relâche jusque dans leurs sombres repaires ces êtres assez absurdes pour se flatter de ramener la tyrannie et toutes ses horreurs au milieu de 25 millions d’hommes qui ont tous juré de périr plutôt, en combattant pour la liberté, que de devenir les victimes du retour de l’esclavage. La patrie, Représentans, vous prépare des couronnes civiques, continuez à bien mériter d’elle et ne quittez le gouvernail du vaisseau de l’Etat oue lorsque vous l’aurez conduit au port, aux acclamations de joie et de reconnaissance de tous les peuples libres qui béniront vos travaux immortels. » Gastaud (présid.), Henry Seguin (secret.), Bt0 Marc (secrét.), Bte Guide (secrét.) cv [La Sté popul. d’Oissel, à la Conv.; s.d.] (1). « Représentants d’un peuple libre et qui veut l’être à jamais, que de grâces nous avons à vous rendre, vous venez de sauver encore une fois la République que des monstres couverts du manteau du patriotisme et de la popularité voulaient précipiter dans l’abîme. Avec quel effroi nous avons appris les détails de cet infernal complot, avec quelle joie nous avons reçu la nouvelle du châtiment éclatant des conjurés; saisis d’une sainte horreur pour les tyrans et les traîtres, nous avons tous renouvelé le serment de les poursuivre et de les démasquer, et de les livrer aux ministres de la loi. Loin de nous l’idée de vous proposer de mettre la mort à l’ordre du jour, nous avons partagé l’horreur que vous a inspirée cette proposition sanguinaire digne d’une horde de monstres, mais que la punition des traîtres et des factieux (1) C 303, pl. 1102, p. 12. 284 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE y soit constamment jusqu’à ce que le dernier d’eux soit tombé sous le glaive de la loi. Achevez, dignes représentants, achevez votre immortel ouvrage, n’abandonnez le gouvernail que lorsque le vaisseau sera tranquille dans le port; c’est le vœu de tous les républicains, c’est celui de tous les membres de notre Société. Vive la République, vive la Montagne. » Brayer (présid.), Cribelier (secret.). CVI [La Sté popul. de Vauvert, à la Conv.; 13 germ. II] (1). « Représentans, Une nouvelle conspiration vient d’éclater à Paris. Vous avez rompu le fil de la trame horrible qu’on ourdissait pour perdre la liberté; vous nous en ferez justice. La Société populaire des sans-culottes de Vauvert a juré guerre éternelle aux tyrans, aux traîtres, aux conspirateurs et à quiconque oserait porter atteinte à la liberté de son pays. Courage, Dignes montagnards, courage ! la malveillance s’agite dans tous les sens pour entraver la marche du gouvernement révolutionnaire, mais le peuple est debout, les tyrans, les conspirateurs seront écrasés. Les Sociétés populaires, sentinelles vigilantes de la Révolution veillent et sauront déjouer tous les complots des ennemis de la République, nous venons vous jurer amitié fraternelle, nous vous soutiendrons dans vos pénibles travaux jusque à stinction (sic) de vie. Montagne sainte ! nous te félicitons des sages mesures révolutionnaires que tu viens de prendre ! tu as sauvé la patrie jusques à aujourd’hui ! tu la sauveras toujours, et nous aurons à jamais la République, une, indivisible et démocratique. » Meizonet (présid.), Gourdon, Barry, Jorran, Jalaguier, Mingaud (secrétaires). CVII [Les Antipolitiques de Vélaux, à la Conv.; 16 germ. II ] (2). Citoyens représentants, Nous voyons avec la plus douce satisfaction que votre surveillance a sauvé de nouveau la République. C’est à vous que nous devons la République vraiment démocratique et nous espérons qu’un jour le peuple français dira à chacun de vous : Voilà un de vos libérateurs, ainsi restez à votre poste jusqu’à ce qu’il n’existe plus aucun ennemi de la liberté que vous nous (1) C 303, pl. 1102, p. 13. Départ, du Gard. (2) C 303, pl. 1102, p. 14. Départ, des Bouches-du-Rhône. avez donnée. Et pour cela frappez sans miséricorde tous ceux qui ont et pourraient avoir l’avidité d’attenter contre la souveraineté que vous représentez, et comptez toujours sur les antipolitiques de Velaux qui sauront toujours voler en masse pour atteindre ceux qui oseraient vous avilir. Et vive la Montagne qui nous assure à jamais l’affermissement de l’édifice de la République française. S. et F. » Locère, Jauffret. CVIII [La Sté popul. de Vertus, au présid. de la Conv.; 23 germ. II] (1). « Citoyen président, Ne voyant nulle mention, dans les bulletins de la Convention de l’adresse de notre Société populaire, relative aux nouveaux dangers auxquels elle a été exposée, ni de notre procès-verbal du 10 de ce mois concernant l’inauguration de notre temple de la Raison, encore que j’en aie adressé des exemplaires par deux fois au citoyen Merlin, notre député, qui sûrement ne lui sont pas parvenus, je m’empresse de joindre à cette lettre une nouvelle ampliation de l’adresse dont il s’agit que notre Société régénérée te prie, Citoyen président de vouloir bien faire agréer à la Convention nationale comme un hommage que nous lui devons. Notre constant attachement et le vif intérêt que nous prenons à sa précieuse conservation, ne nous permet pas de voir avec indifférence ce silence qui blesse notre patriotisme constant. La Convention peut être assurée qu’aucun de nous ne lui survivrait si jamais elle courait de nouveaux dangers, car au premier ordre nous volerions à son secours. » Fleury (présid.). CIX [La Sté popul. de Varennes, à la Conv.; s.cL] (2). « Citoyens représentans, Votre énergie soutient la République. En vain les conspirateurs s’énerveront pour la détruire, en vain ils se multiplieront pour relever le trône sur vos débris sanglans, votre vigilance les anéantira et la république en sera plus affermie. Représentants restez à votre poste vous êtes dignes de l’occuper. Frappez, anéantissez tous les traîtres sous quelque forme qu’ils se déguisent, votre récompense sera l’unanime félicitation d’un peuple armé contre les tyrans et qui préfère la mort à l’esclavage. (D C 303, pl. 1102, p. 15. Départ, de la Marne. (2) C 303, pl. 1102, p. 16. 284 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE y soit constamment jusqu’à ce que le dernier d’eux soit tombé sous le glaive de la loi. Achevez, dignes représentants, achevez votre immortel ouvrage, n’abandonnez le gouvernail que lorsque le vaisseau sera tranquille dans le port; c’est le vœu de tous les républicains, c’est celui de tous les membres de notre Société. Vive la République, vive la Montagne. » Brayer (présid.), Cribelier (secret.). CVI [La Sté popul. de Vauvert, à la Conv.; 13 germ. II] (1). « Représentans, Une nouvelle conspiration vient d’éclater à Paris. Vous avez rompu le fil de la trame horrible qu’on ourdissait pour perdre la liberté; vous nous en ferez justice. La Société populaire des sans-culottes de Vauvert a juré guerre éternelle aux tyrans, aux traîtres, aux conspirateurs et à quiconque oserait porter atteinte à la liberté de son pays. Courage, Dignes montagnards, courage ! la malveillance s’agite dans tous les sens pour entraver la marche du gouvernement révolutionnaire, mais le peuple est debout, les tyrans, les conspirateurs seront écrasés. Les Sociétés populaires, sentinelles vigilantes de la Révolution veillent et sauront déjouer tous les complots des ennemis de la République, nous venons vous jurer amitié fraternelle, nous vous soutiendrons dans vos pénibles travaux jusque à stinction (sic) de vie. Montagne sainte ! nous te félicitons des sages mesures révolutionnaires que tu viens de prendre ! tu as sauvé la patrie jusques à aujourd’hui ! tu la sauveras toujours, et nous aurons à jamais la République, une, indivisible et démocratique. » Meizonet (présid.), Gourdon, Barry, Jorran, Jalaguier, Mingaud (secrétaires). CVII [Les Antipolitiques de Vélaux, à la Conv.; 16 germ. II ] (2). Citoyens représentants, Nous voyons avec la plus douce satisfaction que votre surveillance a sauvé de nouveau la République. C’est à vous que nous devons la République vraiment démocratique et nous espérons qu’un jour le peuple français dira à chacun de vous : Voilà un de vos libérateurs, ainsi restez à votre poste jusqu’à ce qu’il n’existe plus aucun ennemi de la liberté que vous nous (1) C 303, pl. 1102, p. 13. Départ, du Gard. (2) C 303, pl. 1102, p. 14. Départ, des Bouches-du-Rhône. avez donnée. Et pour cela frappez sans miséricorde tous ceux qui ont et pourraient avoir l’avidité d’attenter contre la souveraineté que vous représentez, et comptez toujours sur les antipolitiques de Velaux qui sauront toujours voler en masse pour atteindre ceux qui oseraient vous avilir. Et vive la Montagne qui nous assure à jamais l’affermissement de l’édifice de la République française. S. et F. » Locère, Jauffret. CVIII [La Sté popul. de Vertus, au présid. de la Conv.; 23 germ. II] (1). « Citoyen président, Ne voyant nulle mention, dans les bulletins de la Convention de l’adresse de notre Société populaire, relative aux nouveaux dangers auxquels elle a été exposée, ni de notre procès-verbal du 10 de ce mois concernant l’inauguration de notre temple de la Raison, encore que j’en aie adressé des exemplaires par deux fois au citoyen Merlin, notre député, qui sûrement ne lui sont pas parvenus, je m’empresse de joindre à cette lettre une nouvelle ampliation de l’adresse dont il s’agit que notre Société régénérée te prie, Citoyen président de vouloir bien faire agréer à la Convention nationale comme un hommage que nous lui devons. Notre constant attachement et le vif intérêt que nous prenons à sa précieuse conservation, ne nous permet pas de voir avec indifférence ce silence qui blesse notre patriotisme constant. La Convention peut être assurée qu’aucun de nous ne lui survivrait si jamais elle courait de nouveaux dangers, car au premier ordre nous volerions à son secours. » Fleury (présid.). CIX [La Sté popul. de Varennes, à la Conv.; s.cL] (2). « Citoyens représentans, Votre énergie soutient la République. En vain les conspirateurs s’énerveront pour la détruire, en vain ils se multiplieront pour relever le trône sur vos débris sanglans, votre vigilance les anéantira et la république en sera plus affermie. Représentants restez à votre poste vous êtes dignes de l’occuper. Frappez, anéantissez tous les traîtres sous quelque forme qu’ils se déguisent, votre récompense sera l’unanime félicitation d’un peuple armé contre les tyrans et qui préfère la mort à l’esclavage. (D C 303, pl. 1102, p. 15. Départ, de la Marne. (2) C 303, pl. 1102, p. 16.