SÉANCE DU 5 FLORÉAL AN II (24 AVRIL 1794) - PIÈCES ANNEXES 277 trames les plus obscures ! Les Sociétés populaires lui en découvrent tous les fils et bientôt la race impie des conjurés de l’intérieur et les hordes étrangères ne feront plus que des monceaux épars de cadavres infects sur toutes les parties du globe. Montagne vénérée de tous les patriotes reste constamment à ton poste et ne le quitte que lorsque toutes les factions seront éteintes et que tes instructions et nos armées auront porté sur les deux hémisphères l’amour sacré de la liberté. ». Richard (présid.), Merle (secret.), Thibout (secrét.). LXXXV [La Sté popul. de St-Sauveur, à la Conv .; 13 germ. Il] (1) . « Citoyens législateurs, Revenus de la stupeur dans laquelle nous avons été soudainement plongés en considérant la profondeur et l’étendue de l’abîme dans lequel le peuple français a été sur le point d’être enseveli nous élevons la voix dans l’allegresse de notre cœur pour vous féliciter d’avoir découvert et déjoué la monstrueuse conspiration que des scélérats avaient ourdie. C’est à cette sagacité, il est incontestable, c’est à cette ardente surveillance qui caractérise vos Comités de salut public et de sûreté générale, c’est enfin à cet heureux accord qui préside à l’ensemble de vos opérations respectives qu’est dû de nouveau le salut de la patrie. Que la vengeance nationale anéantisse promptement ces monstres qui plâtrés de toutes les couleurs du patriotisme complotaient hardiment de porter une main sacrilège sur vous pour ramener le peuple français par un torrent de sang à l’humiliant esclavage dans lequel il a malheureusement croupi pendant des siècles. Que la fin tragique de cette horde usurpatrice de la confiance publique retentisse dans toute l’Europe, et subitement seront saisis d’effroi les âmes vénales que les principaux infâmes agens des despotes coalisés voudraient encore corrompre pour consommer leur crime. De quelle trempe que soient ces êtres que l’or corrupteur pourrait séduire, malheur à eux, le génie tutélaire de la France les désignera, et soudain la hache de la loi les atteindra. Mais pour s’acquitter envers vous, Citoyens législateurs, quel monument de gratitude et de gloire la nation française pourra-t-elle vous élever. Vous méritez sans doute par la sublime énergie que vous déployez dans cette circonstance de vivre à jamais dans l’histoire. Ah ! devez vous aussi vous attendre que ses fastes vous y immortaliseront puisque déjà vos immenses et pénibles travaux vous préparaient des droits à cette immortalité. Contentez vous dans ce moment, Pères conscrits, des bénédictions que vous offre un peuple (1) C303, pl. 1101, p. 34. Départ, de Hte-Garonne. libre. Elles vous présagent celles que tout le genre humain donnera à votre mémoire. Dans l’enthousiasme de leur reconnaissance, les français qui vous portent dans leur sein, vous déclarent que vos jours leur sont devenus aussi précieux que l’égalité et la liberté dont vous les faites jouir. Daigne le Ciel en secondant leurs vœux veiller à votre existence, et la République est affermie pour jamais. Vive la redoutable Montagne et mort au crapuleux Marais. S. et F. » Lartique (présid.), Lafont (secrét.). LXXXVI [La Sté popul. des Abrets, à la Conv.; s.d.] (1). « Représentants, A la nouvelle du complot horrible dont la patrie, dont vos jours ont été menacés, nous avons été saisis de la plus profonde indignation. Nous parlons peu mais nous agissons; notre société composée d’anciens et de francs sans-culottes veut la République toute entière et telle que vous nous la promettez. De nos bras vigoureux qui ouvrent les sillons, nous étoufferons les aristocrates de toutes les sectes et de tous les masques. Fermes à votre poste, Représentants, la patrie vous l’ordonne : frappez tous les traîtres. Nous vous dresserons des autels à la justice et à la probité. Gloire vous soit rendue pour vos immortels travaux, bénédictions de tous les sans-culottes aux braves montagnards. » Houlliet (présid.), Gentil (secrét.), Guillioux (secrét.), Droguet. LXXXVII [La Sté popul. de Sancergues, à la Conv.; s.d.] (2). « Salut et respect, Législateurs, La nouvelle des attentats médités dans le silence contre la liberté et prêts à dévorer la représentation nationale, en nous pénétrant de la plus vive douleur, nous a appris à connaître les faux amis de la patrie, à nous méfier des intrigants et les reconnaître sous quelque masque qu’ils se cachent. Le courage et la fermeté que vous avez montrés dans ces circonstances difficiles nous ont convaincus de plus en plus combien vous étiez dignes de la confiance de la République et que vous seuls pouvez la conduire au bonheur. Est-il encore des scélérats qui cherchent à imiter les traîtres qui nous ont trompés si (1) C303, pl. 1101, p. 35. Départ, de l’Isère. (2) C 303, pl. 1101, p. 36. Départ, du Cher. SÉANCE DU 5 FLORÉAL AN II (24 AVRIL 1794) - PIÈCES ANNEXES 277 trames les plus obscures ! Les Sociétés populaires lui en découvrent tous les fils et bientôt la race impie des conjurés de l’intérieur et les hordes étrangères ne feront plus que des monceaux épars de cadavres infects sur toutes les parties du globe. Montagne vénérée de tous les patriotes reste constamment à ton poste et ne le quitte que lorsque toutes les factions seront éteintes et que tes instructions et nos armées auront porté sur les deux hémisphères l’amour sacré de la liberté. ». Richard (présid.), Merle (secret.), Thibout (secrét.). LXXXV [La Sté popul. de St-Sauveur, à la Conv .; 13 germ. Il] (1) . « Citoyens législateurs, Revenus de la stupeur dans laquelle nous avons été soudainement plongés en considérant la profondeur et l’étendue de l’abîme dans lequel le peuple français a été sur le point d’être enseveli nous élevons la voix dans l’allegresse de notre cœur pour vous féliciter d’avoir découvert et déjoué la monstrueuse conspiration que des scélérats avaient ourdie. C’est à cette sagacité, il est incontestable, c’est à cette ardente surveillance qui caractérise vos Comités de salut public et de sûreté générale, c’est enfin à cet heureux accord qui préside à l’ensemble de vos opérations respectives qu’est dû de nouveau le salut de la patrie. Que la vengeance nationale anéantisse promptement ces monstres qui plâtrés de toutes les couleurs du patriotisme complotaient hardiment de porter une main sacrilège sur vous pour ramener le peuple français par un torrent de sang à l’humiliant esclavage dans lequel il a malheureusement croupi pendant des siècles. Que la fin tragique de cette horde usurpatrice de la confiance publique retentisse dans toute l’Europe, et subitement seront saisis d’effroi les âmes vénales que les principaux infâmes agens des despotes coalisés voudraient encore corrompre pour consommer leur crime. De quelle trempe que soient ces êtres que l’or corrupteur pourrait séduire, malheur à eux, le génie tutélaire de la France les désignera, et soudain la hache de la loi les atteindra. Mais pour s’acquitter envers vous, Citoyens législateurs, quel monument de gratitude et de gloire la nation française pourra-t-elle vous élever. Vous méritez sans doute par la sublime énergie que vous déployez dans cette circonstance de vivre à jamais dans l’histoire. Ah ! devez vous aussi vous attendre que ses fastes vous y immortaliseront puisque déjà vos immenses et pénibles travaux vous préparaient des droits à cette immortalité. Contentez vous dans ce moment, Pères conscrits, des bénédictions que vous offre un peuple (1) C303, pl. 1101, p. 34. Départ, de Hte-Garonne. libre. Elles vous présagent celles que tout le genre humain donnera à votre mémoire. Dans l’enthousiasme de leur reconnaissance, les français qui vous portent dans leur sein, vous déclarent que vos jours leur sont devenus aussi précieux que l’égalité et la liberté dont vous les faites jouir. Daigne le Ciel en secondant leurs vœux veiller à votre existence, et la République est affermie pour jamais. Vive la redoutable Montagne et mort au crapuleux Marais. S. et F. » Lartique (présid.), Lafont (secrét.). LXXXVI [La Sté popul. des Abrets, à la Conv.; s.d.] (1). « Représentants, A la nouvelle du complot horrible dont la patrie, dont vos jours ont été menacés, nous avons été saisis de la plus profonde indignation. Nous parlons peu mais nous agissons; notre société composée d’anciens et de francs sans-culottes veut la République toute entière et telle que vous nous la promettez. De nos bras vigoureux qui ouvrent les sillons, nous étoufferons les aristocrates de toutes les sectes et de tous les masques. Fermes à votre poste, Représentants, la patrie vous l’ordonne : frappez tous les traîtres. Nous vous dresserons des autels à la justice et à la probité. Gloire vous soit rendue pour vos immortels travaux, bénédictions de tous les sans-culottes aux braves montagnards. » Houlliet (présid.), Gentil (secrét.), Guillioux (secrét.), Droguet. LXXXVII [La Sté popul. de Sancergues, à la Conv.; s.d.] (2). « Salut et respect, Législateurs, La nouvelle des attentats médités dans le silence contre la liberté et prêts à dévorer la représentation nationale, en nous pénétrant de la plus vive douleur, nous a appris à connaître les faux amis de la patrie, à nous méfier des intrigants et les reconnaître sous quelque masque qu’ils se cachent. Le courage et la fermeté que vous avez montrés dans ces circonstances difficiles nous ont convaincus de plus en plus combien vous étiez dignes de la confiance de la République et que vous seuls pouvez la conduire au bonheur. Est-il encore des scélérats qui cherchent à imiter les traîtres qui nous ont trompés si (1) C303, pl. 1101, p. 35. Départ, de l’Isère. (2) C 303, pl. 1101, p. 36. Départ, du Cher. 278 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE longtemps pour mieux nous perdre; s’il en est, qu’ils jettent les yeux sur tous les conspirateurs qui les ont précédés; déjà ils n’existent plus et leurs noms sont devenus l’horreur de la France entière. Pour vous, Braves représentants à qui nous devons encore une fois le salut de la patrie, continuez du haut de la Montagne, continuez à lancer la foudre qui doit réduire en poussière les contre-révolutionnaires de l’intérieur, les monstres couronnés de l’Europe et leurs satellites. Continuez à affermir les droits du peuple qui vous a confié ses intérêts les plus chers, à préparer le triomphe de la raison dans le monde entier. La récompense vous attend, vous jouirez du bonheur que vous aurez procuré à tous vos concitoyens. Salut. » Gouvernel, Saugère (présid.), Gendron, Barbier, Melanie. LXXXVIII [La Stê popul. de Souillac, à la Conv.; 27 germ. II] CD-« Citoyens représentants, La Société montagnarde de Souillac, toujours pénétrée d’admiration pour vos sublimes travaux, à frémi d’horreur à la nouvelle des dangers dont vous étiez environnés. Quoi ! de vils scélérats, stipendiés par le crime et l’ignominie avaient médité l’affreux parricide d’un peuple libre et vertueux, et voulaient faire saillir de leur ruine la source de tous les maux et de tous les vices. Représentants, la justice éclatante que vous venez d’exercer envers ces criminels audacieux, en imprimant la terreur sur le front des coupables, enhardit, élève l’âme des vrais républicains. Tant de fois trahis, tant de fois exposés aux périls les plus imminents, et cependant toujours victorieux, nous ne doûtons plus que les actes toujours renaissants de vos grandes vertus n’asseoient sur des bases inébranlables notre bonheur avec notre liberté. N’abandonnez donc pas, Citoyens représentai, le gouvernail du vaisseau de la République tant qu’il sera agité par le souffle impur des monstres couronnés; mettez, nous ne dirons pas la mort, mais bien la sévérité et la justice à l’ordre du jour; que tous les ennemis du peuple subissent la peine due à leurs forfaits, et en préparant ainsi pour jamais la félicité du genre humain, vous acquerrez la douce récompense due aux actions héroïques. » Perin (secret.), Delpech jeune. (1) C 303, pl. 1101, p. 37. Lot. LXXXIX [La Sté popul. d’Aurignac, à la Conv.; s.d.] (1). « Législateurs, Si vous n’avez déjà entendu les jacobins d’Aurignac applaudir à la vengeance nationale si justement exercée sur les conspirateurs dont les trames horribles auraient déjà couvert nos fronts d’un deuil bien affligeant, c’est que pour parvenir au sommet de la Montagne, il nous faut parcourir plus de 200 lieues. Heureusement ce voyage que nos coeurs font tous les jours en volant vers vous, n’est pas aussi long pour nos pensées qu’il l’est pour nos écrits. Législateurs, n’épargnez désormais aucun parti, immolez-les tous au fer vengeur de la liberté; ne souffrez autour de vous que des hommes probes. Les coquins, nous vous les ferons tous connaître; aussi fermes que Cornélius-Cossus, ayez de votre côté le courage de faire arrêter les Manlius rebelles; ne craignez pas que le peuple les délivre, il vous offre au contraire ses bras pour les précipiter du haut du roc Tarpéien; déjà depuis trop longtemps, d’autres Catilinas abusent de sa patience; instruits par l’exemple de Cicéron, Représentants, n’exposez plus votre vie à délibérer sur leur sort; le soin de venger le peuple est tout entier dans vos mains; il faut que pas un des scélérats qui ont osé conspirer contre la liberté, reste sans recevoir la peine due à ses forfaits. Nous vous l’avons déjà dit autrefois, notre vœu le plus cher est que vous restiez au poste d’honneur pour y foudroyer les rois, nos féroces ennemis. Nous vous annonçons encore que la raison est ici dans toute sa force, elle seule y a des temples et des adorateurs. Le fanatisme y a expiré sans convulsion, il n’a laissé ni vestiges ni débris. Toute l’argenterie des anciennes églises court se purifier au creuset épuratoire, remplacez-là par du pain. Nous sommes très fraternellement les membres composant la société populaire d’Aurignac. » Datjzat (présid.), Decamps (secret.), Dardignac (secret.). xc [La Sté popul. d’Allevard, à la Conv.; 10 germ. Il] (2). «Encore une troisième fois tu as bien mérité non seulement de la République, mais du genre humain; encore une troisième fois tu as (1) C303, pl. 1101, p. 38. Départ, de la Haute-Garonne. (2) C 303, pl. 1101, p. 39. Départ, de l’Isère. 278 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE longtemps pour mieux nous perdre; s’il en est, qu’ils jettent les yeux sur tous les conspirateurs qui les ont précédés; déjà ils n’existent plus et leurs noms sont devenus l’horreur de la France entière. Pour vous, Braves représentants à qui nous devons encore une fois le salut de la patrie, continuez du haut de la Montagne, continuez à lancer la foudre qui doit réduire en poussière les contre-révolutionnaires de l’intérieur, les monstres couronnés de l’Europe et leurs satellites. Continuez à affermir les droits du peuple qui vous a confié ses intérêts les plus chers, à préparer le triomphe de la raison dans le monde entier. La récompense vous attend, vous jouirez du bonheur que vous aurez procuré à tous vos concitoyens. Salut. » Gouvernel, Saugère (présid.), Gendron, Barbier, Melanie. LXXXVIII [La Stê popul. de Souillac, à la Conv.; 27 germ. II] CD-« Citoyens représentants, La Société montagnarde de Souillac, toujours pénétrée d’admiration pour vos sublimes travaux, à frémi d’horreur à la nouvelle des dangers dont vous étiez environnés. Quoi ! de vils scélérats, stipendiés par le crime et l’ignominie avaient médité l’affreux parricide d’un peuple libre et vertueux, et voulaient faire saillir de leur ruine la source de tous les maux et de tous les vices. Représentants, la justice éclatante que vous venez d’exercer envers ces criminels audacieux, en imprimant la terreur sur le front des coupables, enhardit, élève l’âme des vrais républicains. Tant de fois trahis, tant de fois exposés aux périls les plus imminents, et cependant toujours victorieux, nous ne doûtons plus que les actes toujours renaissants de vos grandes vertus n’asseoient sur des bases inébranlables notre bonheur avec notre liberté. N’abandonnez donc pas, Citoyens représentai, le gouvernail du vaisseau de la République tant qu’il sera agité par le souffle impur des monstres couronnés; mettez, nous ne dirons pas la mort, mais bien la sévérité et la justice à l’ordre du jour; que tous les ennemis du peuple subissent la peine due à leurs forfaits, et en préparant ainsi pour jamais la félicité du genre humain, vous acquerrez la douce récompense due aux actions héroïques. » Perin (secret.), Delpech jeune. (1) C 303, pl. 1101, p. 37. Lot. LXXXIX [La Sté popul. d’Aurignac, à la Conv.; s.d.] (1). « Législateurs, Si vous n’avez déjà entendu les jacobins d’Aurignac applaudir à la vengeance nationale si justement exercée sur les conspirateurs dont les trames horribles auraient déjà couvert nos fronts d’un deuil bien affligeant, c’est que pour parvenir au sommet de la Montagne, il nous faut parcourir plus de 200 lieues. Heureusement ce voyage que nos coeurs font tous les jours en volant vers vous, n’est pas aussi long pour nos pensées qu’il l’est pour nos écrits. Législateurs, n’épargnez désormais aucun parti, immolez-les tous au fer vengeur de la liberté; ne souffrez autour de vous que des hommes probes. Les coquins, nous vous les ferons tous connaître; aussi fermes que Cornélius-Cossus, ayez de votre côté le courage de faire arrêter les Manlius rebelles; ne craignez pas que le peuple les délivre, il vous offre au contraire ses bras pour les précipiter du haut du roc Tarpéien; déjà depuis trop longtemps, d’autres Catilinas abusent de sa patience; instruits par l’exemple de Cicéron, Représentants, n’exposez plus votre vie à délibérer sur leur sort; le soin de venger le peuple est tout entier dans vos mains; il faut que pas un des scélérats qui ont osé conspirer contre la liberté, reste sans recevoir la peine due à ses forfaits. Nous vous l’avons déjà dit autrefois, notre vœu le plus cher est que vous restiez au poste d’honneur pour y foudroyer les rois, nos féroces ennemis. Nous vous annonçons encore que la raison est ici dans toute sa force, elle seule y a des temples et des adorateurs. Le fanatisme y a expiré sans convulsion, il n’a laissé ni vestiges ni débris. Toute l’argenterie des anciennes églises court se purifier au creuset épuratoire, remplacez-là par du pain. Nous sommes très fraternellement les membres composant la société populaire d’Aurignac. » Datjzat (présid.), Decamps (secret.), Dardignac (secret.). xc [La Sté popul. d’Allevard, à la Conv.; 10 germ. Il] (2). «Encore une troisième fois tu as bien mérité non seulement de la République, mais du genre humain; encore une troisième fois tu as (1) C303, pl. 1101, p. 38. Départ, de la Haute-Garonne. (2) C 303, pl. 1101, p. 39. Départ, de l’Isère.