120 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE gnats adressées à la Convention par plusieurs communes, le 17 prairial. Insertion au bulletin (l). [Paris, s.d. Au présid. de la Conv.] (2). « Citoyen Président, Nous t’envoyons ci jointe une expédition du 3e Etat des sommes en numéraire et assignats, adressées à la Convention Nationale par les communes qui y sont dénommées et retirées de l’administration de la poste le 17 Prairial dernier par le Garde magasin général des dépouilles des églises, en exécution du décret du 8 Germinal précédent. Nous te prions, citoyen, de vouloir bien le mettre sous les yeux de la Convention Nationale, conformément à son décret ci-dessus cité. » Laumond. 31 Les administrateurs du district de Douay (3) transmettent à la Convention nationale un trait de courage et de force de Pierre Hurtel. Ce citoyen, homme d’une vigueur extraordinaire, a sauvé des fiâmes une voiture chargée de barils de poudre, et s’y étant attelé, l’a conduite seul dans sa commune, à la distance d’une demi lieue, et devant l’ennemi. Mention honorable, insertion au bulletin et renvoi au comité d’instruction publique (4). 32 Les administrateurs du district de Langeais, département d’Indre - et - Loire donnent connoissance à la Convention d’une fête qui y a été célébrée en réjouissance des derniers succès de nos braves défenseurs. Mention honorable, insertion au bulletin (5). [Langeais, 16 mess. II] ( 6)- « Les succès constans des armes de la République sur tous les points des pais ennemis qui nous entourent, nous pénétrent d’un saint enthousiasme. Les derniers avantages que nos braves et généreux défenseurs ont remporté contre les tyrans coalisés dans les affaires récentes et mémorables de Cour-tray, Ypres, Charleroy et dans la plaine de Fleurus sont pour la france entière le présage le plus certain de l’affermissement de notre chère et précieuse liberté. il) P.V., XLI, 221. 12 C 308, pl. 1187, p. 7. 13) Nord. 1 4) P.V., XLI, 221. Bin, 30 mess. (ler suppl1). M.U., XLII, 41; Audit, nat., n°665; J. Lois, n°661. (5) P.V., XLI, 221. Bin, 30 mess. (ler suppl1) et 2 therm. (1er suppl4). (6) C 309, pl. 1200, p. 24. En témoignage de notre allégresse à ce sujet, une fête civique que nous célébrâmes hier dans notre commune s’est opérée avec cette joie et cet esprit de fraternité qui caractérisent les vrais amis de la patrie. Plusieurs bataillons venant de la Vendée ont partagé avec nous la satisfaction de nos victoires ; ils s’y sont livrés avec transport. Plusieurs discours ont été prononcés, des himnes patriotiques ont été chantées du haut de la Montagne, autour d’un feu de joie des rondes ont été dansées, les citoyenes, les citoyens soldats, les soldats-citoyens et toutes les autorités constituées y étoient confondües. La des embrassents (sic) fraternels de toutes parts se sont donnés avec cette decense toujours suivie des plus purs plaisirs. Des rasades se sont bües à la santé de nos généreux défenseurs aux cris mille fois répétés de Vive la République, vive la Montagne ». Dupont, Tulasne, [et 3 signatures illisibles]. 33 La commune de Gorron, département de la Mayenne, félicite la Convention de ses travaux ; lui annonce qu’elle offre 118 chemises, 1 chapeau, 2 serre-têtes, 2 mouchoirs blancs, un bonnet de coton, 2 sacs de toile neuve, 9 paires de bas, et 8 paires de souliers qu’elle vient de déposer au district d’Ernée. Mention honorable, insertion au bulletin (l). [Gorron, lerprair. II] (2). « Citoyens représentants, Grâces aux mesures révolutionnaires que vous avez prises, les sol de la liberté va bientôt être purgé des traitres qui l’infectoient. Mais que ces mesures ne cessent qu’avec le dernier des monstres qui les ont fait naitre ; qui mieux que vous pouvait en faire faire l’application, personne. Continuez donc, citoyens représentants, vos glorieux travaux. Restez au poste où la volonté nationale vous a appelés et ne le quittez qu’après que nos dangers communs auront cessé, alors vous aurez trois fois bien mérité de la patrie. Notre zèle à seconder vos efforts va encore dédoubler (sic) et nous vous jurons de si bien surveiller les malveillants qu’aucun d’eux ne pourra échapper au supplice qui les attend. En effet une commune qui de tous les temps n’a cessé de donner des preuves non équivoques de son attachement à la plus sainte des révolutions pourrait elle se ralentir au moment ou nos armées triomphantes chassent du territoire de la République les cohortes des despotes coalisés, s’emparent de leurs villes, non, et cet enthousiasme qui a electrisé les âmes de nos jeunes guerriers a passé dans les nôtres. Mais puisque nos bras ne peuvent être utilisés pour combattre les monstres qui veulent étouffer notre liberté, nous avons cru devoir y suppléer en contribuant à adoucir le sort de nos jeunes héros par une collecte d’effets (l) P.V., XLI, 222. Bin, 28 mess. (2e suppl4). (2) C 308, pl. 1193, p. 9. 120 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE gnats adressées à la Convention par plusieurs communes, le 17 prairial. Insertion au bulletin (l). [Paris, s.d. Au présid. de la Conv.] (2). « Citoyen Président, Nous t’envoyons ci jointe une expédition du 3e Etat des sommes en numéraire et assignats, adressées à la Convention Nationale par les communes qui y sont dénommées et retirées de l’administration de la poste le 17 Prairial dernier par le Garde magasin général des dépouilles des églises, en exécution du décret du 8 Germinal précédent. Nous te prions, citoyen, de vouloir bien le mettre sous les yeux de la Convention Nationale, conformément à son décret ci-dessus cité. » Laumond. 31 Les administrateurs du district de Douay (3) transmettent à la Convention nationale un trait de courage et de force de Pierre Hurtel. Ce citoyen, homme d’une vigueur extraordinaire, a sauvé des fiâmes une voiture chargée de barils de poudre, et s’y étant attelé, l’a conduite seul dans sa commune, à la distance d’une demi lieue, et devant l’ennemi. Mention honorable, insertion au bulletin et renvoi au comité d’instruction publique (4). 32 Les administrateurs du district de Langeais, département d’Indre - et - Loire donnent connoissance à la Convention d’une fête qui y a été célébrée en réjouissance des derniers succès de nos braves défenseurs. Mention honorable, insertion au bulletin (5). [Langeais, 16 mess. II] ( 6)- « Les succès constans des armes de la République sur tous les points des pais ennemis qui nous entourent, nous pénétrent d’un saint enthousiasme. Les derniers avantages que nos braves et généreux défenseurs ont remporté contre les tyrans coalisés dans les affaires récentes et mémorables de Cour-tray, Ypres, Charleroy et dans la plaine de Fleurus sont pour la france entière le présage le plus certain de l’affermissement de notre chère et précieuse liberté. il) P.V., XLI, 221. 12 C 308, pl. 1187, p. 7. 13) Nord. 1 4) P.V., XLI, 221. Bin, 30 mess. (ler suppl1). M.U., XLII, 41; Audit, nat., n°665; J. Lois, n°661. (5) P.V., XLI, 221. Bin, 30 mess. (ler suppl1) et 2 therm. (1er suppl4). (6) C 309, pl. 1200, p. 24. En témoignage de notre allégresse à ce sujet, une fête civique que nous célébrâmes hier dans notre commune s’est opérée avec cette joie et cet esprit de fraternité qui caractérisent les vrais amis de la patrie. Plusieurs bataillons venant de la Vendée ont partagé avec nous la satisfaction de nos victoires ; ils s’y sont livrés avec transport. Plusieurs discours ont été prononcés, des himnes patriotiques ont été chantées du haut de la Montagne, autour d’un feu de joie des rondes ont été dansées, les citoyenes, les citoyens soldats, les soldats-citoyens et toutes les autorités constituées y étoient confondües. La des embrassents (sic) fraternels de toutes parts se sont donnés avec cette decense toujours suivie des plus purs plaisirs. Des rasades se sont bües à la santé de nos généreux défenseurs aux cris mille fois répétés de Vive la République, vive la Montagne ». Dupont, Tulasne, [et 3 signatures illisibles]. 33 La commune de Gorron, département de la Mayenne, félicite la Convention de ses travaux ; lui annonce qu’elle offre 118 chemises, 1 chapeau, 2 serre-têtes, 2 mouchoirs blancs, un bonnet de coton, 2 sacs de toile neuve, 9 paires de bas, et 8 paires de souliers qu’elle vient de déposer au district d’Ernée. Mention honorable, insertion au bulletin (l). [Gorron, lerprair. II] (2). « Citoyens représentants, Grâces aux mesures révolutionnaires que vous avez prises, les sol de la liberté va bientôt être purgé des traitres qui l’infectoient. Mais que ces mesures ne cessent qu’avec le dernier des monstres qui les ont fait naitre ; qui mieux que vous pouvait en faire faire l’application, personne. Continuez donc, citoyens représentants, vos glorieux travaux. Restez au poste où la volonté nationale vous a appelés et ne le quittez qu’après que nos dangers communs auront cessé, alors vous aurez trois fois bien mérité de la patrie. Notre zèle à seconder vos efforts va encore dédoubler (sic) et nous vous jurons de si bien surveiller les malveillants qu’aucun d’eux ne pourra échapper au supplice qui les attend. En effet une commune qui de tous les temps n’a cessé de donner des preuves non équivoques de son attachement à la plus sainte des révolutions pourrait elle se ralentir au moment ou nos armées triomphantes chassent du territoire de la République les cohortes des despotes coalisés, s’emparent de leurs villes, non, et cet enthousiasme qui a electrisé les âmes de nos jeunes guerriers a passé dans les nôtres. Mais puisque nos bras ne peuvent être utilisés pour combattre les monstres qui veulent étouffer notre liberté, nous avons cru devoir y suppléer en contribuant à adoucir le sort de nos jeunes héros par une collecte d’effets (l) P.V., XLI, 222. Bin, 28 mess. (2e suppl4). (2) C 308, pl. 1193, p. 9. SÉANCE DU 25 MESSIDOR AN II (13 JUILLET 1794) - Nos 34-37 121 qui leur peuvent être utiles au commencement d’une campagne qui doit assurer notre tranquillité et notre bonheur. Puisse cette offrande civique les engager à ne pas laisser souiller le sol de la liberté par les esclaves des tirans. Nous avons pour cette fin déposé au directoire du district d’Ernée, suivant le reçu des administrateurs : 118 chemises, 1 chapeau, 2 serre-tête, 2 mouchoirs blancs, 1 bonnet de cotton, 2 sacs de toille, 9 paires de bas et 8 paires de souliers, que nous avions destinés pour nos frères du 1er bataillon de la Mayenne qui pour la plupart ont pery au siège de la malheureuse ville de Landrieux, et dont nous vous prions de disposer en faveur de ceux de nos frères d’armes que vous jugerez en avoir besoin. Ces effets sont les fruits d’un don civique de notre commune plus riche en patriotisme qu’en fortune et qu’ils ont donné avec cette générosité qui seule caractérise les vrais républicains. Précédemment nous avions déposé au même directoire du district : 16 livres 9 onces d’argent et 2 200 livres de métal provenant des dépouilles de notre ci-devant église que nous avons converti en temple de la Raison, depuis votre décret dédié à l’Eternel. » Lemarchant (présidj, [et 2 signatures illisibles]. 34 La société populaire d’Etrigny(l) félicite la Convention du décret du 18 floréal. Insertion au bulletin (2). [Etrigny, 21 prair. II] (3). « La Société populaire, de la commune et canton d’Etrigny, district de Chalon-sur-Sàonne, département de Sàonne et Loire, Annonce a la Convention, quelle a fourni et envoyés sur la frontière, un déffenseur a la patrie, monté équipé et armée, et quelle lui fait en outre 20 sols d’haute paye par jour, jusqu’à l’entiere dés-truction dès tirrans, et invite la Convention de rester a son poste, jusqu’à le mesme époque. La félicité de sés heureux travaux, et lui témoigne la satisfaction qu’ont éprouvés lés habitans de la campagne, en voyant paraître le decret concernant l’existence de l’être suprême et l’immortalité de l’ame. Salut, fraternité, et vive a jamais la République et les braves montagnards, lés sauveur[s] de la patrie ». Montangerand {présid .), Borgne, Berlhud ( secrétaires ). Il) Saône-et-Loire. 2 P.V., XLI, 221. Bin, 28 mess. (2e suppl1). 3) C 310, pl. 1210, p. 20. 35 Le conseil-général de la commune de Melun (l) envoie le procès-verbal de la fête célébrée en réjouissance de la victoire de Charleroi. Il invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (2). 36 La société populaire de Sarre-Libre, département de la Moselle, envoie à la Convention nationale 100 liv., dont le citoyen Bons fait don à la patrie. Mention honorable, insertion au bulletin (3). [Sarre-Libre, 8 prair. II] [ 4). « Citoyens Représentans, Le citoyen Bons nous a remis la somme de 100 liv., provenant du dernier mois de ses appointements de surveillant des bœufs de l’approvisionnement de cette place. C’est avec une douce satisfaction, dit il qu’il en fait don à la Patrie. Il nous a chargé de l’envoi. S. et F. ». Lanternier, Henry ( secrétaires ), [signature du présid. illisible]. 37 La société populaire de Preuilly, département d’Indre-et-Loire, applaudit au décret du 18 floréal, et invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (5). [Preuilly, 16 prair. II] { 6). « Législateurs, Toutes les lois que vous donnez au Peuple français, pour l’affermissement de sa liberté, sont dictées par la saine philosophie, puisque la vertu, les mœurs et la probité sont les bases sur lesquelles vous les avez calquées; ce qui nous le prouve, ce qui le prouve à tous les peuples de l’univers, c’est que les Traîtres, salariés par nos ennemis, pour détruire cette liberté, en semant la corruption, en voulant avilir et dissoudre la Convention Nationale (auteur de ces lois sublimes) ont échoués devant elle; la surveillance, l’energie de la convention, des comités de salut public et de sûreté générale, les ont fait connaître; et les tribunaux en ont fait justice, en l) Seine-et-Marne. 12 P.V., XLI, 222. Bin, 1er therm. i3) P.V., XLI, 222. Bm, 28 mess. (2e suppl1). 14 C 310, pl. 1210, p. 21. 5 P.V., XLI, 222. 6) C 310, pl. 1210, p. 22. SÉANCE DU 25 MESSIDOR AN II (13 JUILLET 1794) - Nos 34-37 121 qui leur peuvent être utiles au commencement d’une campagne qui doit assurer notre tranquillité et notre bonheur. Puisse cette offrande civique les engager à ne pas laisser souiller le sol de la liberté par les esclaves des tirans. Nous avons pour cette fin déposé au directoire du district d’Ernée, suivant le reçu des administrateurs : 118 chemises, 1 chapeau, 2 serre-tête, 2 mouchoirs blancs, 1 bonnet de cotton, 2 sacs de toille, 9 paires de bas et 8 paires de souliers, que nous avions destinés pour nos frères du 1er bataillon de la Mayenne qui pour la plupart ont pery au siège de la malheureuse ville de Landrieux, et dont nous vous prions de disposer en faveur de ceux de nos frères d’armes que vous jugerez en avoir besoin. Ces effets sont les fruits d’un don civique de notre commune plus riche en patriotisme qu’en fortune et qu’ils ont donné avec cette générosité qui seule caractérise les vrais républicains. Précédemment nous avions déposé au même directoire du district : 16 livres 9 onces d’argent et 2 200 livres de métal provenant des dépouilles de notre ci-devant église que nous avons converti en temple de la Raison, depuis votre décret dédié à l’Eternel. » Lemarchant (présidj, [et 2 signatures illisibles]. 34 La société populaire d’Etrigny(l) félicite la Convention du décret du 18 floréal. Insertion au bulletin (2). [Etrigny, 21 prair. II] (3). « La Société populaire, de la commune et canton d’Etrigny, district de Chalon-sur-Sàonne, département de Sàonne et Loire, Annonce a la Convention, quelle a fourni et envoyés sur la frontière, un déffenseur a la patrie, monté équipé et armée, et quelle lui fait en outre 20 sols d’haute paye par jour, jusqu’à l’entiere dés-truction dès tirrans, et invite la Convention de rester a son poste, jusqu’à le mesme époque. La félicité de sés heureux travaux, et lui témoigne la satisfaction qu’ont éprouvés lés habitans de la campagne, en voyant paraître le decret concernant l’existence de l’être suprême et l’immortalité de l’ame. Salut, fraternité, et vive a jamais la République et les braves montagnards, lés sauveur[s] de la patrie ». Montangerand {présid .), Borgne, Berlhud ( secrétaires ). Il) Saône-et-Loire. 2 P.V., XLI, 221. Bin, 28 mess. (2e suppl1). 3) C 310, pl. 1210, p. 20. 35 Le conseil-général de la commune de Melun (l) envoie le procès-verbal de la fête célébrée en réjouissance de la victoire de Charleroi. Il invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (2). 36 La société populaire de Sarre-Libre, département de la Moselle, envoie à la Convention nationale 100 liv., dont le citoyen Bons fait don à la patrie. Mention honorable, insertion au bulletin (3). [Sarre-Libre, 8 prair. II] [ 4). « Citoyens Représentans, Le citoyen Bons nous a remis la somme de 100 liv., provenant du dernier mois de ses appointements de surveillant des bœufs de l’approvisionnement de cette place. C’est avec une douce satisfaction, dit il qu’il en fait don à la Patrie. Il nous a chargé de l’envoi. S. et F. ». Lanternier, Henry ( secrétaires ), [signature du présid. illisible]. 37 La société populaire de Preuilly, département d’Indre-et-Loire, applaudit au décret du 18 floréal, et invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (5). [Preuilly, 16 prair. II] { 6). « Législateurs, Toutes les lois que vous donnez au Peuple français, pour l’affermissement de sa liberté, sont dictées par la saine philosophie, puisque la vertu, les mœurs et la probité sont les bases sur lesquelles vous les avez calquées; ce qui nous le prouve, ce qui le prouve à tous les peuples de l’univers, c’est que les Traîtres, salariés par nos ennemis, pour détruire cette liberté, en semant la corruption, en voulant avilir et dissoudre la Convention Nationale (auteur de ces lois sublimes) ont échoués devant elle; la surveillance, l’energie de la convention, des comités de salut public et de sûreté générale, les ont fait connaître; et les tribunaux en ont fait justice, en l) Seine-et-Marne. 12 P.V., XLI, 222. Bin, 1er therm. i3) P.V., XLI, 222. Bm, 28 mess. (2e suppl1). 14 C 310, pl. 1210, p. 21. 5 P.V., XLI, 222. 6) C 310, pl. 1210, p. 22.