SÉANCE DU 13 FLORÉAL AN II (2 MAI 1794) - Nos 20 A 24 551 20 Le citoyen J. Cayaert, capitaine au 21e bataillon d’infanterie légère, fait hommage à la Convention d’un manuscrit intitulé : Instruction des devoirs de l’homme, à l’usage des sans-culottes. Mention honorable, et renvoi au Comité d’instruction publique (1). 21 Le citoyen Boinvilliers, instituteur à Versailles, fait hommage à la Convention d’un exemplaire de la deuxième édition de son code de morale et de politique; et d’un autre, intitulé : Le manuel des républicains. Mention honorable, insertion au bulletin, et renvoi au Comité d’instruction publique (2). [' Versailles , 10 jlor. Il] (3). « Citoyen président, Je te prie de vouloir bien faire agréer en mon nom à la Convention nationale les deux exemplaires ci-joints; l’un est la seconde édition de mon Code de Morale et de Politique, ouvrage qu’elle a déjà honorablement mentionné en son procès-verbal; l’autre est un ouvrage intitulé Le Manuel du Républicain ou l’Esprit du Contrat social, dans lequel j’ai réuni en masse toutes les grandes idées de politique et de législation qu’avait le célèbre Rousseau; j’ai mis ce petit ouvrage à la portée de tout le monde. Je prie la Convention de l’agréer comme un nouveau tribut d’admiration de ma part pour ses sublimes travaux. » Boinvilliers. 22 Les administrateurs du district de Briançon envoient 2 croix dites de Saint-Louis. Les mêmes administrateurs annoncent que le 5e bataillon des Côtes-maritimes a fait don à la patrie de deux jours de sa solde, montant à 1 631 liv. 15 s., qui ont été versées dans la caisse du district. Mention honorable, insertion au bulletin, et renvoi au Comité des finances (4). [Briançon, 30 germ. II] (5). « Citoyen président, Nous t’adressons 2 croix cy-devant St-Louis, que les citoyens Jacques Phillardy et Pierre Burékly, lieutenants au 2e bataillon d’infanterie (1) P.V., XXXVI, 278. (2) P.V., XXXVI, 279. Bin, 17 flor. (2e suppl.). (3) C 303, pl. 1109, p. 30. (4) P.V., XXXVI, 279; Bin, 7 flor. (2e suppl.); J. Sablier, n° 1294; J. Fr., n° 586. (5) C 302, pl. 1082, p. 15. légère, ont déposé à la municipalité de celte commune, auxquels sont joints le brevet de ce premier, et les deux extraits de la rémission, Respect et fraternité. » Raby, Fantin, Blein, Faure [et 1 signature illisible] . 23 Le citoyen Brocas, juge du tribunal de l’Isle-Jourdain, fait don d’un assignat de 400 liv., pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (1), [Lombez, 29 germ. II] (2). « Citoyens représentants du peuple, Quel est le Français qui, dans les circonstances, n’est pas enthousiasmé de l’énergie de nos représentants ? Quel est le Français qui, dans le moment, n’est pas porté à faire des sacrifices ? En vain, les traîtres du dedans se coalisent avec les scélérats étrangers, pour assassiner la liberté; tout est déjoué par votre surveillance. Ma reconnaissance est à son comble. Elle ne sera pas stérile cette reconnaissance. Un assignat de 400 1. destiné pour les braves défenseurs de nos frontières, est le gage que j’en donne, avec la résolution bien sincère de sacrifier, s’il le faut, mes biens, même mes jours pour sauver ma patrie. Périssent les tyrans, vive la Montagne. » Brocas. 24 La Société populaire de Saint-Alvère envoie 383 liv. 10 s. pour les frais de la guerre, annonçant que sa pauvreté la met dans l’impossibilité de mieux faire : elle invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (3). [Saint-Alvère, 26 germ. II] (4). « Citoyen président, La société populaire de Saint-Alvère et Grand Castaing, ont appris avec indignation la nouvelle conspiration qui était sur le point d’assassiner la liberté; elle a vu avec enthousiasme la Montagne écraser ces vils perfides. Pénétrés de confiance pour la Convention nationale, nous la félicitons sur l’importance de ses travaux et l’invitons à rester à son poste. Nos principes sont à la hauteur des circonstances. Notre vœu a toujours été prononcé pour la Révolution et pour le gouvernement républicain. Nous avons donné à la patrie 120 volontaires, et nous jurons tous de mourir pour défendre la liberté et l’égalité. (1) P.V., XXXVI, 279. Btn, 7 flor. (2e suppl.); J. Fr., n° 586. (2) C 302, pl. 1082, p. 18. (3) P.V., XXXVI, 279. Bin, 7 flor. (2e suppl.) et 14 flor. (4) C 302, pl. 1082, p. 19. SÉANCE DU 13 FLORÉAL AN II (2 MAI 1794) - Nos 20 A 24 551 20 Le citoyen J. Cayaert, capitaine au 21e bataillon d’infanterie légère, fait hommage à la Convention d’un manuscrit intitulé : Instruction des devoirs de l’homme, à l’usage des sans-culottes. Mention honorable, et renvoi au Comité d’instruction publique (1). 21 Le citoyen Boinvilliers, instituteur à Versailles, fait hommage à la Convention d’un exemplaire de la deuxième édition de son code de morale et de politique; et d’un autre, intitulé : Le manuel des républicains. Mention honorable, insertion au bulletin, et renvoi au Comité d’instruction publique (2). [' Versailles , 10 jlor. Il] (3). « Citoyen président, Je te prie de vouloir bien faire agréer en mon nom à la Convention nationale les deux exemplaires ci-joints; l’un est la seconde édition de mon Code de Morale et de Politique, ouvrage qu’elle a déjà honorablement mentionné en son procès-verbal; l’autre est un ouvrage intitulé Le Manuel du Républicain ou l’Esprit du Contrat social, dans lequel j’ai réuni en masse toutes les grandes idées de politique et de législation qu’avait le célèbre Rousseau; j’ai mis ce petit ouvrage à la portée de tout le monde. Je prie la Convention de l’agréer comme un nouveau tribut d’admiration de ma part pour ses sublimes travaux. » Boinvilliers. 22 Les administrateurs du district de Briançon envoient 2 croix dites de Saint-Louis. Les mêmes administrateurs annoncent que le 5e bataillon des Côtes-maritimes a fait don à la patrie de deux jours de sa solde, montant à 1 631 liv. 15 s., qui ont été versées dans la caisse du district. Mention honorable, insertion au bulletin, et renvoi au Comité des finances (4). [Briançon, 30 germ. II] (5). « Citoyen président, Nous t’adressons 2 croix cy-devant St-Louis, que les citoyens Jacques Phillardy et Pierre Burékly, lieutenants au 2e bataillon d’infanterie (1) P.V., XXXVI, 278. (2) P.V., XXXVI, 279. Bin, 17 flor. (2e suppl.). (3) C 303, pl. 1109, p. 30. (4) P.V., XXXVI, 279; Bin, 7 flor. (2e suppl.); J. Sablier, n° 1294; J. Fr., n° 586. (5) C 302, pl. 1082, p. 15. légère, ont déposé à la municipalité de celte commune, auxquels sont joints le brevet de ce premier, et les deux extraits de la rémission, Respect et fraternité. » Raby, Fantin, Blein, Faure [et 1 signature illisible] . 23 Le citoyen Brocas, juge du tribunal de l’Isle-Jourdain, fait don d’un assignat de 400 liv., pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (1), [Lombez, 29 germ. II] (2). « Citoyens représentants du peuple, Quel est le Français qui, dans les circonstances, n’est pas enthousiasmé de l’énergie de nos représentants ? Quel est le Français qui, dans le moment, n’est pas porté à faire des sacrifices ? En vain, les traîtres du dedans se coalisent avec les scélérats étrangers, pour assassiner la liberté; tout est déjoué par votre surveillance. Ma reconnaissance est à son comble. Elle ne sera pas stérile cette reconnaissance. Un assignat de 400 1. destiné pour les braves défenseurs de nos frontières, est le gage que j’en donne, avec la résolution bien sincère de sacrifier, s’il le faut, mes biens, même mes jours pour sauver ma patrie. Périssent les tyrans, vive la Montagne. » Brocas. 24 La Société populaire de Saint-Alvère envoie 383 liv. 10 s. pour les frais de la guerre, annonçant que sa pauvreté la met dans l’impossibilité de mieux faire : elle invite la Convention à rester à son poste. Mention honorable, insertion au bulletin (3). [Saint-Alvère, 26 germ. II] (4). « Citoyen président, La société populaire de Saint-Alvère et Grand Castaing, ont appris avec indignation la nouvelle conspiration qui était sur le point d’assassiner la liberté; elle a vu avec enthousiasme la Montagne écraser ces vils perfides. Pénétrés de confiance pour la Convention nationale, nous la félicitons sur l’importance de ses travaux et l’invitons à rester à son poste. Nos principes sont à la hauteur des circonstances. Notre vœu a toujours été prononcé pour la Révolution et pour le gouvernement républicain. Nous avons donné à la patrie 120 volontaires, et nous jurons tous de mourir pour défendre la liberté et l’égalité. (1) P.V., XXXVI, 279. Btn, 7 flor. (2e suppl.); J. Fr., n° 586. (2) C 302, pl. 1082, p. 18. (3) P.V., XXXVI, 279. Bin, 7 flor. (2e suppl.) et 14 flor. (4) C 302, pl. 1082, p. 19. 552 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE Reçois, citoyen président, l’offrande que nous faisons de la modique somme de 383 liv. 10 sous, que nous destinons pour nos frères, les défenseurs de la patrie. Notre offrande est modique, mais considère que c’est le tribut d’une Société de pauvres sans-culottes qui est dans l’impossibilité de mieux faire. Périssent les tyrans coalisés, les royalistes, les aristocrates, les traîtres, les factieux, les intrigants et les modérés, et vive la Convention nationale, la République une et indivisible et la Montagne; c’est le plus ardent de nos vœux. » Azémar. 25 Le citoyen Boulin, du Mont-de-l’Egalité, ci-devant Faremoutiers (1), envoie 25 1. en assignats et 20 liv. en numéraire, pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (2). [ Mont-de-l’Egalité , 7 flor. II (3) . « Citoyen président, Tu trouveras ci-inclus : 1°) la somme de 25 liv. en assignats pour m’acquitter de la dette annuelle que j’ai cons-tractée pour les frais de la guerre; elle échoie au 1er mai (vieux style), dorénavant, je l’adopte pour le 1er floréal. 2°) celle de 20 liv. en numéraire seul objet que j’avais de la tyrannie, métal impur que je te prie de faire passer au creuset national pour se purifier et devenir utile à la République en servant aux frais de ses défenseurs. J’ai mêlé ma joie et ma reconnaissance avec mes concitoyens qui l’ont témoignée à la Convention sur les complots affreux que des Catilinas d’un nouveau genre avaient osé tramer contre la patrie et qu’elle a si énergiquement déjoués : nouveaux Brutus, vous remplissez trop bien les vœux du peuple, les lois sages que vous lui donnez lui sont trop chères pour ne pas vous inviter à lui continuer votre active sollicitude; en mon particulier, recevez-en, toute ma gratitude et ma vénération. Périssent les tyrans, les factieux, les athées et tous les ennemis de la République française. S., F. et Union. » Bouin. 26 Le citoyen Bidard, garde des fortifications, dépose sur l’autel de la patrie, par le fait du député Barère, 820 liv. pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (4). <1) Val-deMarne. (2) P.V., XXXVI, 279. (3) C 302, pl. 1082, p. 20. (4) P.V., XXXVI, 280. Bin, 17 flor. (2e suppl.). [Saint-Jean-Pied-de-Port, 16 germ. II] (1). «En 1792 (vieux style), je remis au citoyen Fougère, secrétaire des représentants du peuple Carnot, Garrau et Lamarque, la pétition dont je t’adresse le double; je te prie de la faire prendre en considération pour l’objet qui intéresse mon bail sur l’entreprise des ouvrages de la barre de Bayonne. Conformément à mon offre à la nation je t’adresse tous les appointements qui m’ont été payés depuis l’époque de ma pétition, montant à la somme de 820 liv. Je regarde cette obligation comme sacrée jusqu’à l’extinction des tyrans armés contre notre liberté. Je joins à ma lettre le titre qui m’a été envoyé par le Ministre A. Lajard, au nom du despote Louis XVI. Si tu crois mes services utiles à la République, je te prie d’en faire passer un autre selon la nouvelle forme républicaine. S. et F. » Bidard. 27 Les officiers des escadrons de campagne du 12e bataillon de dragons déclarent à la nation qu’ils ne prendront que la moitié de la viande qu’elle leur accorde, pendant 8 jours; et qu’ils renouvelleront ce sacrifice toutes les fois qu’ils pourront se procurer d’autres subsistances; ils ajoutent à ce don 101 liv. (assignats), 72 liv. en argent, et un galon pesant deux onces. Mention honorable, insertion au bulletin (2). [ Bohain , 29 vent. II] (3). «Les officiers des escadrons de campagne du 12e Régiment et le chirurgien major, voulant témoigner à la République leur civisme, déclarent à l’état major de la division intermédiaire, Armée du Nord, qu’ils ne prendront que la moité de la viande qu’elle leur accorde, pendant 8 jours, à dater du 1er Germinal, et qu’ils renouvelleront ce sacrifice toutes les fois qu’ils pourront se procurer d’autres subsistances telles qu’elles. Ils ajoutent à ce sacrifice un don patriotique de 72 liv. en numéraire, et 101 liv. en assignats, plus 1 galon pesant 2 onces. » Fiquet. 28 La commune de Paris envoie le nombre des détenus dans les différentes maisons d’arrêt de son ressort. Le total est de 7 009 (4) . [Commune de Paris, 12 flor. II; Etat du 11 flor. (5). (1) C 302, pl. 1082, p. 21. (2) P.V., XXXVI, 280. Bln, 14 flor. (2e suppl.); J. Sablier, n° 1294. (3) C 302, pl. 1082, p. 22. (4) P.V., XXXVI, 280. Btn, 13 flor. (5) C 302, pl. 1095, p. 36. Signé Henry, Benoit. 552 ARCHIVES PARLEMENTAIRES - CONVENTION NATIONALE Reçois, citoyen président, l’offrande que nous faisons de la modique somme de 383 liv. 10 sous, que nous destinons pour nos frères, les défenseurs de la patrie. Notre offrande est modique, mais considère que c’est le tribut d’une Société de pauvres sans-culottes qui est dans l’impossibilité de mieux faire. Périssent les tyrans coalisés, les royalistes, les aristocrates, les traîtres, les factieux, les intrigants et les modérés, et vive la Convention nationale, la République une et indivisible et la Montagne; c’est le plus ardent de nos vœux. » Azémar. 25 Le citoyen Boulin, du Mont-de-l’Egalité, ci-devant Faremoutiers (1), envoie 25 1. en assignats et 20 liv. en numéraire, pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (2). [ Mont-de-l’Egalité , 7 flor. II (3) . « Citoyen président, Tu trouveras ci-inclus : 1°) la somme de 25 liv. en assignats pour m’acquitter de la dette annuelle que j’ai cons-tractée pour les frais de la guerre; elle échoie au 1er mai (vieux style), dorénavant, je l’adopte pour le 1er floréal. 2°) celle de 20 liv. en numéraire seul objet que j’avais de la tyrannie, métal impur que je te prie de faire passer au creuset national pour se purifier et devenir utile à la République en servant aux frais de ses défenseurs. J’ai mêlé ma joie et ma reconnaissance avec mes concitoyens qui l’ont témoignée à la Convention sur les complots affreux que des Catilinas d’un nouveau genre avaient osé tramer contre la patrie et qu’elle a si énergiquement déjoués : nouveaux Brutus, vous remplissez trop bien les vœux du peuple, les lois sages que vous lui donnez lui sont trop chères pour ne pas vous inviter à lui continuer votre active sollicitude; en mon particulier, recevez-en, toute ma gratitude et ma vénération. Périssent les tyrans, les factieux, les athées et tous les ennemis de la République française. S., F. et Union. » Bouin. 26 Le citoyen Bidard, garde des fortifications, dépose sur l’autel de la patrie, par le fait du député Barère, 820 liv. pour les frais de la guerre. Mention honorable, insertion au bulletin (4). <1) Val-deMarne. (2) P.V., XXXVI, 279. (3) C 302, pl. 1082, p. 20. (4) P.V., XXXVI, 280. Bin, 17 flor. (2e suppl.). [Saint-Jean-Pied-de-Port, 16 germ. II] (1). «En 1792 (vieux style), je remis au citoyen Fougère, secrétaire des représentants du peuple Carnot, Garrau et Lamarque, la pétition dont je t’adresse le double; je te prie de la faire prendre en considération pour l’objet qui intéresse mon bail sur l’entreprise des ouvrages de la barre de Bayonne. Conformément à mon offre à la nation je t’adresse tous les appointements qui m’ont été payés depuis l’époque de ma pétition, montant à la somme de 820 liv. Je regarde cette obligation comme sacrée jusqu’à l’extinction des tyrans armés contre notre liberté. Je joins à ma lettre le titre qui m’a été envoyé par le Ministre A. Lajard, au nom du despote Louis XVI. Si tu crois mes services utiles à la République, je te prie d’en faire passer un autre selon la nouvelle forme républicaine. S. et F. » Bidard. 27 Les officiers des escadrons de campagne du 12e bataillon de dragons déclarent à la nation qu’ils ne prendront que la moitié de la viande qu’elle leur accorde, pendant 8 jours; et qu’ils renouvelleront ce sacrifice toutes les fois qu’ils pourront se procurer d’autres subsistances; ils ajoutent à ce don 101 liv. (assignats), 72 liv. en argent, et un galon pesant deux onces. Mention honorable, insertion au bulletin (2). [ Bohain , 29 vent. II] (3). «Les officiers des escadrons de campagne du 12e Régiment et le chirurgien major, voulant témoigner à la République leur civisme, déclarent à l’état major de la division intermédiaire, Armée du Nord, qu’ils ne prendront que la moité de la viande qu’elle leur accorde, pendant 8 jours, à dater du 1er Germinal, et qu’ils renouvelleront ce sacrifice toutes les fois qu’ils pourront se procurer d’autres subsistances telles qu’elles. Ils ajoutent à ce sacrifice un don patriotique de 72 liv. en numéraire, et 101 liv. en assignats, plus 1 galon pesant 2 onces. » Fiquet. 28 La commune de Paris envoie le nombre des détenus dans les différentes maisons d’arrêt de son ressort. Le total est de 7 009 (4) . [Commune de Paris, 12 flor. II; Etat du 11 flor. (5). (1) C 302, pl. 1082, p. 21. (2) P.V., XXXVI, 280. Bln, 14 flor. (2e suppl.); J. Sablier, n° 1294. (3) C 302, pl. 1082, p. 22. (4) P.V., XXXVI, 280. Btn, 13 flor. (5) C 302, pl. 1095, p. 36. Signé Henry, Benoit.